12 juillet 2013

Milk Coffee and Sugar - CARTE BLANCHE #02

de retour d'un voyage de rêve au Burundi et au Rwanda, après avoir eu l'honneur et le privilège de jouer à l'Alhambra avec Bonga et Saul Williams, on a la chance d'accueillir, Féfé, Némir, Akua Naru, Rocé, Beat Assailant, Mélissa Laveaux, Taïro pour la deuxième édition de la carte blanche MCS qui aura lieu le 28 juillet au Parc de la Villette dans le cadre des scènes d'été.
l’événement est gratuit... et Guillaume Poncelet sera toujours accompagné des musiciens de BLEND.

13 mai 2013

Sur la route du Pili Pili - épisodes 7 à 10 !!!

de la rencontre avec Nemir et Gros Mo au MilkCoffeeSuga'freeli-DEAD HORSE-pilipilistyle, jusqu'à l'enregistrement avec Bonga, en passant par la naissance de "Ma femme" (morceau préféré de SUGA) venez goûter au Pili Pili !

02 mars 2013

Sur la route du Pili Pili de Gaël - épisodes 5 et 6

En attendant de retrouver Gaël et toute l'équipe de Milk Coffee & Sugar sur scène, la web-série du Pili Pili continue son chemin...
MERCI à Nico "10" Bozino pour les images, le montage.

14 février 2013

L'album solo de Gaël est sorti !

PILI PILI SUR UN CROISSANT AU BEURRE sera sorti le lundi 4 février, il y a dix jours maintenant. Il y a dix jours sortait dix ans d'une vie de Picaflore.
Vraiment, si vous n'avez pas encore pris les dix minutes nécessaires à l'écoute du PILI PILI dépêchez-vous !
Merci à Nico "10" Bozino pour ces images.
Remerciements également à Abbes, Linda Morin, Marion Armengod, Aissa Thiam, Marion Gilbaud, Tiga, Sarah Ababsa.

01 février 2013

19 janvier 2013

Sur la route du Pili Pili de Gaël - épisodes 1 et 2

J-16 avant la sortie de l'album "Pili-Pili sur un croissant au beurre" de Gaël !
Pour vous permettre de mieux le déguster, voici les deux premiers épisodes de la construction du Piment Picaflorien...
La suite arrive bientôt ! En attendant, voici l'EPK de Gaël, petit document de douze minutes dans lequel il nous parle à coeur ouvert.
Merci à toute l'équipe de 6D Prod ainsi qu'à Leïla et Shahin.

11 janvier 2013

Un poème sans nom en guise de Bonne Année !

Pour vous souhaiter la bonne année 2013, ON VOULAIT VOUS REMERCIER DE NOUS AVOIR TANT SOUTENUS EN 2012 en vous présentant la plume d'une poétesse qu'on aime bien. Elle s'appelle Indhira Ka'.
En espérant que vous apprécierez à votre tour, on vous envoie nos voeux pour les douze mois à venir.
Poème sans nom
Ne te tues pas en esthète Ta plume loin d'être fluette Fouette de sens et sans loup Tout s'achète non tout se loue.
La main sur la gâchette Tout se gâche et le temps pète Les boutons sur les manchettes Prêtes à de nouvelles conquêtes.
Je lègue aux marionnettes Mon nègre d'Ego Je légo une camionnette J'ai 4 ans le ciel est beau.
Je fuis j'ai un rancard Boulevard des yeux qui brillent Dans la main j'ai un routard Dans l'autre un stylo bille.
Je veux pas de vos quartiers Mon orange a un goût miel Je veux pas de vos parquets Ma Justice est bien réelle.
Je veux pas de vos rancœurs Ni rentrer dans vos rangs Je veux construire mes rapports Pas suivre les ordres du Vatican.
Je suis aussi libertaire Qu'un tag Nique Ta Mère J'ai moins d'Ego que j'ai d'éther J'ai ni terre ni mode en tête.
Dans la meute qu'on m'abatte Je n'ai ni place ni fortune Juste un son à émettre Sans passer par une pub.
Sans passer par un tube Et un vide brassant de l'air Je Brassens L'atmosphère  Quand les pré-vers sont sur iTunes. 
Quand la prime est un revers Et l'hyper-travail t'achève La déprime en gros salaire La routine non-stop te cherche.
On ne peut plus faire semblant  Plus rien de subliminal Des images sur nos écrans Des faux semblants dans nos webcams.
Payer cash sur un paypal  Et oublier le principal Dans les flux je vois trop flou Dans l'fuel un système de fou.
L'effluve de la résine Contre la nécrose de l'esprit Les fleurs et les épines Contre l'ecchymose de vos cris. 
Mes écrits contre ton écrin  Ton égoïsme réactionnaire Quand ta lumière s'éteint Mon monde se fait solaire.
Quand tu minutes je milite  Quand t'humilies je médite Quand t'hume ton nez s'irrite Quand tu sais rien je sais rire
Quand tu see rien je Syrie  Quand t'es séries je sérine Quand t'es sérieux je surine Quand j't'ouvre les yeux tu subis. 
Dans un contexte insalubre  Le linguicide est amoral Quand nos textes sont lugubres C'est pour te remonter le moral.
Parce que sous ton atarax  Lobotomie est mortifère  Laisse-toi faire sous ces taxes On redessine tes repères.
Un grillage d'auto-dérision L'équateur sépare les peurs Dans le haut la fin du monde Dans l'bas toujours la terreur.
Atterrir sous un exil  Amaigri dans un exode Par censure l'antenne grésille Le sang sûr est rempli d'iodes.
Un monde radioactif  Quand le viol est atomique Explosion du Nucléaire Incident Fukushi-mique. 
Y a du bruit dans l'assemblée  Le peuple, faut qu'on s'immisce  Y a des lois et des projets Les gars, faut qu'on s'invite. 
Tu décides pas de mon budget  C'est moi qui fais la liste Tu sais pas où loger Demande aux fraternistes. 
Tu veux venir le torse bombé  Demande aux intégristes  Tu veux la née cécité  Quand j'veux un regard progressiste.
INDHIRA KA'

14 décembre 2012

RaSHELL n'a pas voulu

Dans le cadre du marathon des signatures 2012 d'Amnesty International, on s'est intéressés à la communauté Bodo qui vit dans le pays Ogoni au Nigéria.
Il s'avère qu'en 2008, suite à deux déversements consécutifs d'hydrocarbures causés par des défectuosités sur un oléoduc de Shell, l'équivalent de milliers de barils de pétrole ont contaminé la terre et les cours d'eau de Bodo. Les conséquences sont désastreuses au niveau sanitaire et agricole.
On a écrit une chanson RaSHELL n'a pas voulu dans laquelle on imagine qu'un pêcheur de Bodo demanderait à une certaine RaSHELL de venir voir les dommages collatéraux de son travail et de les assumer.
Amnesty International a fait un petit montage d'images pour cette chanson.
On vous invite à aller signer la pétition sur le site d'Amnesty International : http://www.marathondessignatures.org/
Voici une photo prise avec Christian Lekoya Kpandei, le pasteur et leader de la communauté Bodo, venu en France pour sensibiliser l'opinion sur ce qui se passe sur ses terres.
Un grand merci à Christian Lekoya Kpandei et à Amnesty International.

What A Wonderful World avec OMMM

OMMM, c'est un groupe vocal qu'on a rencontré lors du concours Zebrock 2011. 6 tueurs avec qui on s'est liés d'amitié et qui nous ont invités pour une collaboration sur leur deuxième album (actuellement disponible) Vocal Trip Box. Le morceau ne sera finalement pas sur leur opus car ils n'ont pas eu les droits pour exploiter la reprise du morceau de Bob Thiele et de George David Weiss : WHAT A Wonderful World.
Ceci dit, on a quand même fait un clip parce qu'on est très fiers de ce morceau.
Merci à Gregory Pierre pour la réalisation.
Pour en savoir un peu plus sur Ommm, n'hésitez pas à vous rendre sur le home-site-OMMM dont voici le lien : http://www.ommm.fr/

30 novembre 2012

clip CHANTER-DECHANTER

Tourné entre ailleurs et maintenant, entre Mali et France, entre délire et sérieux, entre compte vide et conte plein, entre Nico et Bozino, entre Jean-Yves et DJI WA, voici notre dernier clip entre chant et désenchantement...
merci à Nico "10" Bozino et Jean-Yves "DJI WA" Ricci.

13 novembre 2012

Balanzan

Voici un morceau qu'on a réalisé au Mali entre Bamako et Ségou. Malgré la situation difficile du pays les gens essayent de s’en sortir et de continuer à entreprendre. C’est le cas du projet ZANBAL qui oeuvre sur le marché de la compensation carbone en mettant le public en relation avec un agriculteur malien. Le but affirmé étant de planter un arbre, mais pas n’importe lequel, il s’agit du Balanzan ou encore Acacia albida ou Faidherbia albida. Le Balanzan « est un arbre réputé dans le monde agronomique : buisson épineux dans son jeune âge, il descend ses racines jusque dans la nappe phréatique pour entamer une croissance soutenue. Légumineuse, sa symbiose avec rhizobium lui permet de fixer l’azote de l’air. Ses mycorhizes lui permettent de mobiliser efficacement les ressources minérales du sol. Ses gousses sont très appréciées par les ruminants pour qui elles constituent une ressource fourragère additionnelle en saison sèche. Particularité unique : ses feuilles tombent en saison des pluies enrichissant le sol en matière organique et minéraux, limitant ainsi l’ombre aux cultures. Les rendements sont augmentés sous l’arbre : cela en fait une solution très originale pour séquestrer du CO2 avec des arbres sans transformer des par- celles cultivées en forêt mais, au contraire, en augmentant la productivité des parcelles cultivées. » Nous avons eu quelques jours pour rencontrer les agriculteurs, nous familiariser avec leur environnement, créer une chanson avec le groupe Bamakool Jazz, l’enregistrer au studio de Salif Keita et tourner le clip dans la foulée. C’était intense et très riche en rencontres et en expériences.

11 septembre 2012

Gaël Faye dans l'émission Le Ring

L'émission était enregistrée à la Bellevilloise, salle de concert à Paris, dans le vingtième. Le concept était de reproduire une salle de boxe et précisément, un Picaflore nommé Gaël Faye a boxé avec les mots pour citer Arsenik.
LE LIVE http://musique.orange.fr/videos/le-ring-gael-faye_5955289.html
L'INTERVIEW http://musique.orange.fr/videos/le-ring-interview-gael-faye_5955290.html
merci à Aline et toute son équipe.

06 septembre 2012

Poème de Julien Delmaire à propos d'un concert MC&S à Saint-Malo

Julien Delmaire, on l'a découvert avec le film documentaire, " Slam ce qui nous brûle " de Pascal Tessaud.
Documentaire dans lequel figure notre frère de plume Nëggus, membre de notre collectif Chant d'Encre et qui ne cessait de nous parler de " Nègres " un des recueils de poèmes de Julien Delmaire.
Nous nous sommes procurés le recueil et nous avons été époustouflés par la puissance d'écriture de Julien. C'était il y a bien trois ans de ça. Et voilà que nous croisons sa route à Saint-Malo en mai dernier. Non contents de partager la scène avec lui lors d'une restitution d'ateliers d'écriture, nous l'invitons à un de nos concerts. Nous voulions savoir ce qu'il pense de nous... Sa pensée a donné lieu à un texte qu'il nous a très humblement permis de publier ici. Encore un grand MERCI Julien, tes mots ne cesseront de nous toucher.
L’ALCHIMIE SUR LA GREVE
« Je suis incapable d’écouter de la musique trop souvent. Cela me donne envie de dire des choses gentilles et sottes, et de tapoter la tête des gens. Or, maintenant, il faut frapper sur la tête, les frapper sans merci. »
Vladimir Ilitch Oulianov dit Lénine, propos rapportés par Maxime Gorki.
« Lay your head down real close to me. Soothe my mind and set me free. Set me free. »
Donna Summer, Love to Love You Baby.
Que dire du crépuscule, quand il s’allonge le long des docks, parmi les embruns hystériques et l’écume alanguie. Rien. On ferme sa gueule, on marche, on déploie ses pauvres ailes d’albatros anémié. On constate l’ombre.
Ca commençait mal. J’avais prêté mon badge à un frère d’encre, un camarade, un poète d’avant-garde qui avait oublié son blanc seing près des latrines dans la quête éperdue d’une immortelle. Je ne donnerai pas son nom, histoire de ne pas trop le compromettre, mais quand même, je n’avais plus de badge et ça commençait mal.
Une grande tente de style bédouin contemporain se dressait sur la grève. Je rassemblais mon courage, harnachait mon plus beau sourire, celui là-même qui fit se pâmer naguère les rudes matafs du Potemkine. Après une longue tractation avec le camarade videur, chez qui je décelais, au-delà d’une rustrerie de prime abord, des trésors de tendresse, la chemise presque blanche, imprégnée encore d’une sueur saine et laborieuse, je gagnais l’antichambre de la joie.
A l’intérieur, ça swinguait déjà. Du monde. Du beau monde qui chaloupait et tanguait dans les ressacs d’un honky-tonk sur pilotis. Sur la scène, qu’éblouissaient des ampoules fabuleuses, une fanfare excitait la foule. Tintamarre mélodieux surgit droit des abymes, éclaboussure de jazz sur les pendrillons du ciel. Combien étaient-ils sur l’estrade de bois, combiens de soleils martelés, donnant leurs sangs et leur salives au peuple du rythme ? Ils étaient innombrables. Me revient le nom de cet orphéon extatique. Milk Coffe and Sugar. Du lait, du café, du sucre. L’alchimie était limpide et nos cœurs, vieux percolateurs saturés d’arôme n’en pouvaient plus de vibrer.
Que dire du crépuscule quand il ramène sa meute de chiens vers l’estuaire où le silence, un soir, vint mourir. Rien. On danse. Je dansais donc, avec cette grâce ensorcelée, qui jadis me valu une standing ovation à l’Opéra de Moscou. Une batterie furibonde rassembla la tribu éparpillée. Ah, mes dernières pudeurs jetées en contrebas des planches ! Ah, mes beaux sagittaires, mes jambes de syncope, quelle biguine vous avez dansée ! Le batteur avait de faux-air de révolutionnaire cubain. L’organiste souriait à l’averse, ses doigts de pluie inondaient le clavier. Son visage de pasteur nous rappelait que le monde ne tient qu’à un accord. Le bassiste, s’il existait vraiment, se confondait avec la pulsation primale, colossale et intime, le vibrato de la terre. Et vous parlerais-je de cet homme, qui une anche noire aux lèvres, avait sans jamais cesser de sourire, réveillé le Lazare de son rêve de chlore. Ce saxophoniste blanc, une vraie gueule de tchétchène, que traversaient pourtant les langueurs du bayou.
Soudain, deux voix explosent à la face des possibles. Deux hougans font reluire les secrets du tambour. Les mots sentent l’asphalte et le lys écrasé. Le verbe accuse et il ne tremble pas. On rit beaucoup, ça taquine, ça houspille, ça cabotine même, puis le réel cogne, on se cogne à lui. Langues qui épousent les charniers, qui lavent les stigmates de la brousse, voix justes, voix d’oxygène.
Moi, camarade, on me la fait pas ; j’ai tété Engels au biberon et mes parents m’avaient offert comme hochet, une faucille et un petit marteau rigolo. Je les repère de loin, moi, camarade, les faux culs, les sociaux-traîtres, les kauskystes, les fantoches, les beaux parleurs, les hyènes à vocalises, les cosaques d’opérettes. Mais ces deux là, sur scène étaient plus vrais que nature. Ils disaient la vérité. Naturellement. Une vérité qui s’énonce dans un grand rire, le rire de l’esclave, égorgeurs de cannes dans la pénombre des plantations, l’esclave qui court, court, court à s’en démettre l’âme et qui rit, en hommage à la vie, à la nuit, tandis que les molosses à ses jarrets ne l’effrayent pas. L’esclave libre qui rit.
J’ai vu de bien belles choses, ce soir là, belles et improbables. Deux stagiaires mal rasés s’offrir un tango fraternel et viril. Un farfadet breton à peine jailli de son fourré étreindre le corps d’une princesse de Saba. C’était le Tout-Monde, le Tout-Genre. Un grand bordel glasnost irradié d’allégresse !
Que dire du crépuscule quand il renifle vos mains, comme un chien de hasard, puis s’éloigne sans réclamer pitance. Rien. On applaudit. J’applaudissais donc de toutes mes vertèbres. Près du bar, je reconnu Lénine qui discutait avec le videur ; ils avaient l’air copains comme moujiks. Je songeais alors à la théorie d’Alexandra Kollontaï : « dans la société idéale, faire l’amour, sera aussi simple que de boire un verre d’eau ». Je me souviens qu’Ilitch Oulianov, à l’époque, se tirait sur la barbichette, franchement dubitatif et que la pauvre Alexandra avait du remballer illico son utopie. Camarade Lénine, t’as rien compris ! L’amour c’est simple comme un café, avec du lait et du sucre. C’est le groove ultime camarade, le zapoï intergalactique, l’avènement de la libido sociale, l’équilibre définitif des rapports de production, c’est l’amour camarade. Et le crépuscule, tant pis pour lui.
Julien Delmaire
En direct des Cévennes Parallèles Août 2012.

un article sur Africultures pour "'Tite chose "

merci à Anne Bocandé http://www.africultures.com/php/index.php?nav=article&no=10943

12 juin 2012

Gaël Faye en concert mardi 19 juin à la Maroquinerie avec le full band !!!


Le 4 mai dernier, on présentait les quinze morceaux de l'abum solo de Gaël à la Maison des Pratiques Artistiques Amateurs d'Odéon. Un grand moment d'émotions pour nous, le tout partagé devant une salle comble !

Avec ses 4 musiciens dont Guillaume Poncelet et invitant Ben l'Oncle Soul (sur le morceau Isimbi), Gaël nous a fait danser, chanter, rire et pleurer en nous racontant ses voyages intimes... de Bujumbura à Paris. 

Pili Pili sur un croissant au beurre, c'est le titre de l'opus, et à l'orée de la sortie d'un EP digital reprenant 5 titres de l'album (dont la sortie physique est prévue pour septembre), Gaël remettra le couvert ce mardi 19 juin, à 20h, à la Maroquinerie (23 rue Boyer 75020 Paris métro Ménilmontant ou Gambetta) avec le FULL BAND : 8 musiciens pour un show qui s'annonce déjà exceptionnel !!!

Pour prendre les places, c'est...  ici

On compte sur votre soutien !!!

31 mai 2012

Milk Coffee & Sugar au festival Etonnants Voyageurs 2012

C'était dimanche 27 mai, aux alentours de 21h. Avant, durant toute la journée, on a participé à des tables rondes, on a rencontré des auteurs tels que Danny Lafferière, Lyonel Trouillot, Wilfried Nsondé, Edem Awumey, Alain Mabanckou, Karim Madani, on a assisté au spectacle tout en lettre du collectif 129 H. La veille, on a fait la restitution des ateliers d'écriture menés avec Julien Delmaire, et le soir, on a fait la fête au concert de Black Bazar. Voilà un lien pour voir des images qui témoignent de notre envie de remonter le temps... http://www.etonnants-voyageurs.com/spip.php?article962 Merci à toute l'équipe du festival Etonnants Voyageurs, notamment à Mélani et à Agathe. Remerciements aussi à ENZO (13 ans) aka DASKETAZ, un futur très grand MC !!!

16 avril 2012

'tite chose, recueil de poèmes d'Edgar Sekloka


Voici l'image du dernier projet de Milk Coffee & Sugar...

Une petite trentaine de poèmes agrémentés des dessins de Thibaud Tcherchian pour 'tite chose, un recueil publié par l'éditeur Carnets-Livres dans la collection "Livre-live", vient élargir les horizons du groupe. En plus de l'album de Gaël, Pili-Pili sur un croissant au beurre, dont la sortie est prévue pour mai-juin 2012, MC'S défendra à partir d'avril, l'ouvrage d'Edgar (Suga) fait "à la main" (donc sans aucune machine de découpe) par un éditeur passionné du livre, notamment en tant qu'objet ; au passage, la couverture des ouvrages publiés est faite en tissu. Pour Edgar, ce sera du wax.

Outre le choix de ses auteurs et sa ligne éditoriale, Carnets-Livres est très apprécié par les libraires du fait des oeuvres proposées : ce sont toujours des 'tites choses d'une originalité et d'une beauté rares.

Des signatures en présence d'Edgar et de Thibaud seront bientôt programmées. En attendant, il est possible de trouver des recueils soit en allant au concert de Milk Coffee & Sugar, soit en librairie, soit en les commandant directement via le facebook d'Edgar Unpeude Sucre.

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